Phobie scolaire : la charge invisible des parents les mène à l’épuisement. Un burn-out silencieux que la société refuse encore de voir.
La phobie scolaire n’est pas un échec si elle est bien accompagnée. Avec un soutien adapté, elle peut devenir une opportunité de transformation pour l’adolescent. Cet article vous invite à voir comment surmonter la phobie scolaire, aider votre enfant à retrouver confiance et sécurité, et redéfinir la réussite en dehors des pressions scolaires. Découvrez des solutions efficaces pour un accompagnement sécure et adapté aux besoins de votre enfant.
Sortir de la phobie scolaire demande du temps et de la douceur. Forcer à retourner à l’école aggrave la peur et retarde le rétablissement. Découvrez comment accompagner autrement.
Ce 10 octobre, Journée mondiale de la santé mentale, je vous invite à repenser notre rapport à la performance.
La bonne santé mentale ne devrait pas se résumer à notre capacité à "fonctionner", produire, contribuer au monde ou s’adapter à un monde qui va trop vite.
C’est souvent de l’épuisement, de la pression, du non-respect des rythmes et des besoins réels.
Et si être en bonne santé mentale, c’était simplement se sentir en sécurité ?
Pas besoin d’être productif pour avoir de la valeur.
La veille de la rentrée scolaire, de nombreuses familles vivent un dimanche soir marqué par l’angoisse, les larmes et le silence. Quand l’école devient source de peur, il ne s’agit ni de paresse ni de caprice : la phobie scolaire est un trouble sérieux, encore trop méconnu. Je vous propose un éclairage bienveillant et rassurant pour les parents et les jeunes, montrant que ne pas réussir à franchir la porte de l’école un matin ne signifie pas échouer dans la vie.
Pourquoi les solutions actuelles de la santé mentale des jeunes, Grande cause nationale 2025, échouent face aux réels besoins des adolescents atypiques ? Les chiffres de jeunes en souffrance augmentent, mais rien ne bouge. Quand une solution ne résout rien, ne faut-il pas en chercher une autre ? Voir autrement ? Je vous propose de nous pencher sur cette question.
Pourquoi, alors que tu es en vacances, tu n'arrives pas à te détendre, à te sentir « en vacances » ?
Les vacances, surtout pour les neuroatypiques, ne sont pas du repos, c’est de l'évitement.
Derrière l’illusion des vacances se cache souvent une pause vide, où on ne répare rien. On ne se repose pas, on ne met pas réellement sur pause… en pensant que ça va passer tout seul.
J'ai pourtant une solution pour toi, afin que cela ne se renouvelle pas l'année prochaine !
Comment prévenir les risques psychosociaux à l'école, ici et maintenant ? En apprenant à repérer les signaux faibles, à changer de regard sur des comportements inhabituels, à communiquer autrement, à agir concrètement, que l'on soit parent, professionnel ou ado en difficulté.
« Différente » de Lola Doillon : vision sensible et éclairée de l'autisme au féminin.
Le diagnostic tardif d'autisme va chambouler la vie de Katia. Son quotidien compliqué n'en sera pas simplifié pour autant, mais le soulagement de n'être pas "bizarre ou "inadaptée" va l'emporter.
Mettre un nom sur sa culpabilité, ses échecs, ses « bizarreries » est un soulagement et un choc à la fois.
L'autisme au féminin y est décrit et interprété avec justesse et sensibilité.
Découvrez pourquoi les risques psychosociaux à l’école restent invisibilisés alors qu’ils impactent lourdement la santé mentale des élèves. Burn-out, stress, figement, perte de sens : l’école peut rendre malade. Un article engagé qui bouscule les idées reçues et propose une nouvelle grille de lecture pour mieux comprendre et accompagner nos jeunes.