Pourquoi tant de jeunes atypiques disent ne pasvouloir devenir adulte ? Entre fatigue, peur de l’avenir et rejet des modèles adultes, leur malaise en dit long sur notre société. Les adultes ont pourtant les clés pour les aider à se projeter autrement — encore faut-il les connaître et les utiliser.
L'inclusion, vous l'entendez souvent, sans vraiment savoir ce qu'on entend par là. L'inclusion, ce n'est pas qu'un mot à la mode. C'est ce qui, au quotidien, peut changer la vie des personnes atypiques et la rendre plus simple.
C'est appliquer trois étapes accessibles à tous : comprendre, adapter, valoriser.
Concrètement, si on le veut réellement, pratiquer l'inclusion ne demande pas beaucoup d'efforts.
Les efforts invisibles = épuisement. La majorité des gens ne se rend pas compte de la violence de l'injonction faite aux ados atypiques de toujours faire des efforts, de faire plus, de faire mieux... L'absence de reconnaissance de ces efforts, rendus invisibles par méconnaissance, les amène à l'épuisement, voire à l'effondrement de l'ado
Le burnout et la dépression partagent certains symptômes, mais leurs causes et mécanismes diffèrent. Comprendre précisément ces différences permet d'apporter le soutien le plus adapté aux adolescents en souffrance.
Le burnout atypique demande aux personnes concernées de mobiliser des forces, des compétences et des atouts particuliers pour sortir de cet état d'épuisement. Cet article explore les forces et ressources intrinsèques de ces profils atypiques ainsi que la manière dont elles les utilisent pour surmonter le burnout atypique.
Pourquoi les personnes atypiques en burnout ont plus de mal à en sortir ? C'est simple : les causes et leurs manifestations sont spécifiques. Les solutions aussi.
Burnout ado : déni et injustice. Contrairement aux adultes, les ados épuisés sont ignorés, forcés d'aller à l'école. On parle de « refus scolaire anxieux », pas de « refus du travail ». Conséquences graves : troubles, décrochage, souffrance. Urgence : reconnaître leur épuisement, leur donner le droit au repos.
La "phobie scolaire" est souvent perçue comme un trouble anxieux, mais si c'était un épuisement profond ? Cet article explore les causes réelles de l'absentéisme scolaire et propose une nouvelle perspective sur la façon d'aider les jeunes en difficulté. Découvrez pourquoi il est crucial de distinguer l'anxiété de l'épuisement pour une prise en charge adaptée et efficace.
La phobie scolaire est souvent confondue avec un trouble anxieux, alors qu’elle résulte d’un état de figement dû au stress (théorie polyvagale). Un diagnostic erroné aggrave la situation, car les méthodes classiques comme l'exposition forcée ne fonctionnent pas. Plutôt que de culpabiliser l’ado, il faut adapter son environnement à ses besoins.
➡️ Découvrez pourquoi et comment mieux l’accompagner.
Les ruminations mentales sont naturelles mais peuvent vite nous gâcher la vie. elles nous maintiennent en tension parce que nous luttons contre notre propre tête. découvrez dans cet article comment sortir de ce cercle infernal.